Sciences à l’École — Ministère de l’Éducation Nationale

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Sciences à l’École — Ministère de l’Éducation Nationale
  • Réaliser et exploiter un filé d’étoiles

    Observer et comprendre le mouvement apparent du ciel. Réaliser des images astronomiques dans un but esthétique et/ou scientifique.

    Depuis la nuit des temps l’’être humain a cherché à comprendre sa place dans l’Univers. Parmi les diverses observations qu’il a mené durant l’Antiquité, certaines l’on mené à croire, à tort, que la Terre était au centre du monde, tout le reste de l’Univers tournant autour, de manière plus au moins complexe. C’était, bien sûr, sans compter sur le fait que la Terre est dans la réalité animée de plusieurs mouvements parmi lesquels une « rapide » rotation sur elle-même en un peu moins de 24 heures. C’est ce mouvement qu’il est possible de mettre en scène et d’étudier par la réalisation d’un filé d’étoiles.

  • Utilisation du logiciel libre Stellarium

    Il s’agit ici de proposer une utilisation de Stellarium en vu de préparer une soirée d’observation, ce document peut également servir à mieux maitriser ce logiciel libre mais également de lire les données du logiciel avec un œil plus averti.

  • Réaliser et traiter des spectres avec un StarAnalyser

    Description de l’activité : Comment réussir à faire parler rapidement les spectres obtenus avec un Star Analyser.
    Lorsque l’on réalise des clichés de spectres d’étoiles, il n’est pas toujours évident de les exploiter.

  • Observer et comprendre la rétrogradation de Mars

    Avant le système héliocentrique de Copernic, le système de Ptolémée expliquait les mouvements de « marche arrière » des planètes dans le ciel en introduisant des épicycles. Ce système avait le mérite de maintenir la Terre au centre mais compliquait grandement la marche des planètes. Le système héliocentrique permet d’expliquer de manière très aisée ce phénomène de rétrogradation.

  • Mise en évidence d’une exo planète par la méthode du transit

    Détecter la présence d’une exo planète en mesurant la baisse de luminosité de l’étoile devant laquelle elle passe :

    La première exo planète a été découverte en 1995 à l’observatoire de Haute Provence grâce à une méthode basée sur le décalage spectral ; en 1999 la 1ère exo planète est découverte par la méthode du transit . Le principe est simple : lorsque la planète passe devant son étoile, à condition qu’elle soit sur la bonne ligne de visée, alors on peut détecter une légère baisse de flux lumineux de l’étoile ; la périodicité du phénomène nous renseigne alors sur la période de révolution de la planète autour de son étoile ; la profondeur du transit (c’est à dire la baisse de luminosité) nous renseigne sur la taille de la planète.

  • Étude des étoiles variables de type RR LYRAE

    Détecter et mesurer les variations de luminosité d’une étoile variable

    Pour détecter la variation lumineuse d’une étoile pulsante de type RR Lyrae, il faut parvenir à des mesures photométriques assez précises. L’amplitude de ces variations lumineuses peut aller de quelques dixièmes à 1 Magnitude avec des périodes asymétrique allant de 0.2 à 1 jour. Il est à noter que la période des RR Lyrae est plus ou moins asymétrique.

  • Comment observer les satellites artificiels ?

    Peu de gens savent que les satellites artificiels sont facilement observables depuis
    le sol. On sait qu’ils existent, mais on les imagine dans un ailleurs lointain, au-delà du regard des humains, quasiment dans le domaine des dieux, en exagérant à peine…

    Pourtant, ils sont facilement observables, et on peut même faire un peu de sciences avec eux…

  • Comment trouver un objet du ciel profond avec un télescope, sans pointage automatique ?

    Les étoiles sont innombrables dans le ciel, et au milieu d’elles, se cachent des profusions de petits objets discrets et subtils de toutes sortes : des nébuleuses de plusieurs modèles, des amas d’étoiles (ouverts ou globulaires), des galaxies etc…

    Un astronome peut se sentir un peu déconfit pour les localiser, alors qu’il a déjà peut-être un peu de mal à repérer les constellations principales. Et comme ces objets sont dans leur très grande majorité, invisibles à l’oeil nu, le désespoir s’installe, d’autant plus que ce n’est pas en déplaçant son télescope au hasard que l’on aura beaucoup de chance de tomber sur ces petits trésors.

    La solution massivement employée depuis quelques années est le "pointage automatique". Une fois le télescope convenablement installé (mis en station), et étalonné (avec une ou plusieurs étoiles de référence), un petit ordinateur intégré à la raquette de commande de l’instrument se charge pour vous de trouver l’objet. Magique.

    Mais aussi profondément ennuyeux… Et si vous avez un Dobson (un large télescope, très ouvert, donc rapide, mais sans monture équatoriale ni logiciel de pointage), ne pas trouver ces petits objets est vite très décevant. Pourtant, cela peut devenir un jeu très intéressant et plutôt amusant si l’on est patient.

    Voyons comment faire, à propos de quelques objets choisis, plus ou moins faciles.

  • Comment comprendre les phases de la Lune ?

    Objectif :
     Le but n’est pas simplement d’expliquer les causes des phases de la Lune, mais aussi de pouvoir prédire les conditions d’observations de la Lune à partir d’un simple calendrier des postes.
     Un objectif peut être aussi, à partir d’une image où la Lune est présente, d’être capable d’en tirer des informations horaires, ou de vérifier un éventuel trucage.

  • L’orbite de la Lune autour de la Terre est-elle circulaire ?

    Objectif : Montrer que la distance Terre-Lune n’est pas constante au cours d’une lunaison, et donc, que son orbite n’est pas un cercle.

    Principe : On fait une image tous les jours de la Lune, avec la même focale, on relève la date et l’heure de la prise de vue. Ensuite on mesure la taille de notre satellite sur l’image.