Acteur central de la médiation scientifique et technique depuis 1979 en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Planète Sciences Méditerranée s’intéresse de près aux moyens de diffusion et de transmission de la culture scientifique et technique auprès des tous et plus particulièrement des publics socialement et/ou territorialement les plus éloignés.
Un projet pour la diffusion de la culture scientifique et technique
Depuis la rentrée 2014, Planète Sciences Méditerranée est impliqué dans le projet MEDITES (MEditerranée DIffusion des TEchniques et des Sciences) porté par l’Université Nice Sophia Antipolis et financé par l’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine).
Avec un rayonnement sur tout le territoire de l’académie, ce projet a pour objectif de donner aux jeunes accès à la culture scientifique, éveiller la curiosité et l’esprit critique, y compris et surtout de ceux qui se trouvent socialement et/ou territorialement le plus éloignés de cette culture.
Des actions adaptées aux objectifs d’égalité des chances
Pour cela, des parcours pédagogiques thématiques sont mis en place tout au long de l’année dans des classes de 5ème en concertation avec les équipes pédagogiques des différents établissements et les acteurs institutionnels et associatifs de la culture scientifique et technique des Alpes-Maritimes et du Var. Les séances alterneront disciplines scientifiques, observations, manipulations et travaux avec les chercheurs. L’utilisation de l’outil numérique et de plateformes collaboratives facilitera l’accès à la culture scientifique pour ces publics.
Pour sa part, Planète Sciences Méditerranée coordonne la thématique « biodiversité » dans le Var et les Alpes-Maritimes, et est impliquée dans trois parcours en partenariat avec d’autres structures associatives et des laboratoires de recherches : « changement climatique vu a travers ses impacts », « la biodiversité au service de l’alimentation et de la santé » et « la biodiversité des insectes ».
Le projet se développera sur trois ans. Pour cette première année 2014/2015, il concerne une vingtaine de lieux, dont quinze collèges « pilotes ».
