On attribue souvent aux énergies renouvelables des caractéristiques favorables (qu’elles peuvent mériter ou non), telles que
la sûreté (faible risque d’accident, faible conséquence d’un éventuel accident, régularité de la fourniture, …).
la propreté (peu voire pas du tout de déchets, peu dangereux et facile à gérer : recyclables, par exemple)
la décentralisation (développement local des territoires, réserve d’emplois locaux non décentralisable, etc. ; Fin 2012, pour l’UE-27, le marché total des énergies renouvelables représentait près de 1,2 million d’emplois (dans le photovoltaïque, la biomasse solide et l’éolien surtout, pour un chiffre d’affaire cumulé (toutes EnR confondues) évalué à plus de 137 Mrds €. 14) ;
le respect de l’environnement, lors de la fabrication, pendant le fonctionnement, et en fin de vie (démantèlement)
Pour ces caractéristiques, c’est chaque filière voire chaque cas séparément qu’il convient d’examiner pour vérifier si on peut ou non lui attribuer le bienfait supposé, et si oui, dans quelle mesure. Par exemple :
l’énergie éolienne peut certainement être considérée comme une production locale au Danemark, mais pas dans un pays qui importe la technique, les capitaux, et les hommes pour faire fonctionner les machines.
Les biocarburants ont un impact environnemental et social contesté (étant en butte aux critiques générales sur l’activité agricole, avec en sus un reproche de destruction alimentaire).
Les installations hydroélectriques, outre les destructions provoquées par l’engloutissement d’une vallée, peuvent se rompre (entre 1959 et 1987, trente accidents ont fait 18 000 victimes dans le monde, dont plus de 2 000 morts en Europe15).
Par ailleurs, dans tous les cas, les énergies renouvelables réduisent la production de CO2 à hauteur de l’énergie non renouvelable qu’elles remplacent. Cependant, elles peuvent rester responsables d’autres gaz à effet de serre pour leur mise en place ou dans le cadre de leur fonctionnement, chaque technique devant être là encore examinée séparément.
amdoulah génie mécanique
Le soleil n’est qu’une petite étoile qui rayonne à travers l’univers. Pourtant l’énergie reçue chaque année par la terre représente 10 000 fois la consommation énergétique totale de l’homme.Nous avons donc à notre disposition une source d’énergie gratuite, non polluante et disponible partout pour 5 à 10 milliards d’années encore.
L’homme d’aujourd’hui a développé des techniques pour utiliser cette source d’énergie dans ses besoins quotidiens.
Mon avis est assez vague, mais je pense que l’énergie solaire dans les 10 prochaine années.
Notre société n’est pas prête, elle pense trop à son intérêt et à son confort… même si cela peut avoir des effets désastreux sur notre planète!
Notre société n’est pas prête à faire des sacrifices!
Elle semble oublier que comme nous le disait Antoine de Saint-Exupéry « Nous n’héritons pas de la Terre de nos ancêtres, on l’emprunte à nos enfants. »
On attribue souvent aux énergies renouvelables des caractéristiques favorables (qu’elles peuvent mériter ou non), telles que
la sûreté (faible risque d’accident, faible conséquence d’un éventuel accident, régularité de la fourniture, …).
la propreté (peu voire pas du tout de déchets, peu dangereux et facile à gérer : recyclables, par exemple)
la décentralisation (développement local des territoires, réserve d’emplois locaux non décentralisable, etc. ; Fin 2012, pour l’UE-27, le marché total des énergies renouvelables représentait près de 1,2 million d’emplois (dans le photovoltaïque, la biomasse solide et l’éolien surtout, pour un chiffre d’affaire cumulé (toutes EnR confondues) évalué à plus de 137 Mrds €. 14) ;
le respect de l’environnement, lors de la fabrication, pendant le fonctionnement, et en fin de vie (démantèlement)
Pour ces caractéristiques, c’est chaque filière voire chaque cas séparément qu’il convient d’examiner pour vérifier si on peut ou non lui attribuer le bienfait supposé, et si oui, dans quelle mesure. Par exemple :
l’énergie éolienne peut certainement être considérée comme une production locale au Danemark, mais pas dans un pays qui importe la technique, les capitaux, et les hommes pour faire fonctionner les machines.
Les biocarburants ont un impact environnemental et social contesté (étant en butte aux critiques générales sur l’activité agricole, avec en sus un reproche de destruction alimentaire).
Les installations hydroélectriques, outre les destructions provoquées par l’engloutissement d’une vallée, peuvent se rompre (entre 1959 et 1987, trente accidents ont fait 18 000 victimes dans le monde, dont plus de 2 000 morts en Europe15).
Par ailleurs, dans tous les cas, les énergies renouvelables réduisent la production de CO2 à hauteur de l’énergie non renouvelable qu’elles remplacent. Cependant, elles peuvent rester responsables d’autres gaz à effet de serre pour leur mise en place ou dans le cadre de leur fonctionnement, chaque technique devant être là encore examinée séparément.
amdoulah génie mécanique
Le soleil n’est qu’une petite étoile qui rayonne à travers l’univers. Pourtant l’énergie reçue chaque année par la terre représente 10 000 fois la consommation énergétique totale de l’homme.Nous avons donc à notre disposition une source d’énergie gratuite, non polluante et disponible partout pour 5 à 10 milliards d’années encore.
L’homme d’aujourd’hui a développé des techniques pour utiliser cette source d’énergie dans ses besoins quotidiens.
Mon avis est assez vague, mais je pense que l’énergie solaire dans les 10 prochaine années.
Notre société n’est pas prête, elle pense trop à son intérêt et à son confort… même si cela peut avoir des effets désastreux sur notre planète!
Notre société n’est pas prête à faire des sacrifices!
Elle semble oublier que comme nous le disait Antoine de Saint-Exupéry « Nous n’héritons pas de la Terre de nos ancêtres, on l’emprunte à nos enfants. »