La mesure d'altitude :
 


Le vol intégral:
 

Si l'on fait abstraction des quelques erreurs de transmission (les pics présents sur la courbe), la courbe est très belle.
L'étude de la courbe montre bien :

Si on recale la courbe pour éliminer le "saut" (plutôt louche) d'altitude, on obtient une altitude d'atterrissage d'environ 30m, ce qui beaucoup plus réaliste. On peut donc en déduire que le choc de départ a du déplacer légèrement un potentiomètre causant une modification d'offset du capteur (en effet l'offset sur ce capteur est très sensible).
En tenant compte de cette remarque nous pouvons mesurer la culmination vers 900 m (à peu près ce que prevoyait Trajec, soit 880 m).


 

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Les 14 premières secondes :
 

Les 14 premières secondes de vol sont les plus intéressantes puisqu'elles réunissent la phase propulsée, la phase balistique et l'ouverture parachute.



 

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La vitesse acentionnelle :
 

Avec une bonne mesure d'altitude, il est facile de faire une étude de la vitesse ascentionnelle de la fusée. pour ce faire nous avons dérivé l'altitude, puis tracé la moyenne mobile pour obtenir une courbe exploitable. Nous avons ensuite puis faire quelques mesures expérimentales :



 

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